
Théâtre Brut porte bien son nom. Cette jeune compagnie interroge violemment le théâtre dans une société bien policée. Elle provoque la Culture avec un grand Q. Elle creuse le rapport à l’image filmée et à sa mis en scène.
Cette fois le Théâtre Brut s’approprie en lecture un chef d’oeuvre de science-fiction. Dans Fahrenheit451 l’auteur Ray Bradbury décrit une société sous surveillance vidéo. Les pompiers y ont pour mission de brûler tous les livres.
Si la lecture était une forme de torture ? Si la Culture n’était qu’une bavure ? « Posez-vous la question ! » hurle le Théâtre Brut.